Première Expérience - Mon Journal Intime

Ce week-end, je suis retournée chez ma mère. Elle avait fait du tri pour transformer ma chambre d'ado en chambre d'amis. Elle a dénichée quelques vieilles affaires m'appartenant dont une pépite… mon journal intime! Je vous en livre un extrait... j'avais déjà à l'époque l'âme d'une autrice d'histoire érotique 😻 Heureusement qu'elle n'a pas pu l'ouvrir avec le mini cadenas qui le ferme précieusement ! J'ai un peu retouché quelques parties mais je dirais que 80% du texte est original.

Cher journal,

Ça y est, maman remet ça… Elle ne ramène pas souvent ses mecs à l'appart mais quand elle le fait, impossible de ne pas le remarquer et surtout, impossible de dormir! Ses gémissements aigus et grincements du lit provenant de la chambre voisine sont bien trop bruyants. Je l'ai vu furtivement passer dans le couloir. Pour une fois il est plutôt beau mec et il a l'air doué.

A cause de tout ce bouquant, la température commence aussi à grimper dans ma chambre. Ces deux amoureux me donnent déjà chaud… Je sens déjà mes tétons durcir à travers le tissu de mon pyjama et les papillons s'agiter dans mon bas ventre. Ma main trouve rapidement le chemin de mon entrejambe chaude et accueillante. Je gémis, c'est bon. C'est moi qui mouille maintenant. Comment me rendormir après ça, alors que je commence tôt les cours demain.

Pour l'instant, mon corps a très envie de sentir des mains fermes et viriles l'explorer. Je ne suis plus pucelle mais je ne peux pas dire que j'ai beaucoup d'expérience. Et aucun homme ne m'a encore prise comme j'en rêve parfois. Sentir des mains me caresser avec tendresse jusqu'à me faire perdre la tête. J'aime m'imaginer être une fille très vilaine à m'autoriser toute sorte de choses coquines en entendant ma mère s'amuser. J'ai tellement envie d'utiliser ma bouche gourmande, qui aimerait sucer jusqu'à ce qu'elle récolte le nectar de son dur labeur en jets crémeux et abondants comme j'ai pu le voir dans quelques film coquin. 

Je m'imagine à chercher les ennuis et les fessées… Dédicace spéciale à mon prof de tennis, bien que je doute qu'il passe un jour par ici pour me lire… Le mec a la quarantaine et me rend toute chose. Toujours un style classe mais décontracté. Un air sévère, sans parler de sa façon de s'adresser aux élèves. Bon, il n'est pas le seul prof spécial du lycée, mais je pense qu'il garde une place à part dans mon petit cœur.

C'est toujours étrange et assez embarrassant de fantasmer sur des personnes réelles sans que ces dernières ne le sachent. Quand il s'agit d'une connaissance ou d'un ami proche avec qui on a vécu des moments de complicité, ça passe. Mais décrire ses fantasmes les plus refoulés sur son prof, représentant de l'autorité… en même temps, qui n'a jamais fantasmé sur l'un de ses profs de lycée ? Mais imagine la prochaine fois qu'il m'adresse la parole, l'air de dire oui ma chère, vous pouvez avoir honte, j'ai lu vos textes de petite cochonne. Rien que d'y penser, je mouille déjà… Mais le pire je crois, ce serait l'indifférence ou le rejet. Genre chérie, vous êtes mignonne mais vous avez l'âge de ma fille, alors calmez vos ardeurs d'élève bourrée d'hormones qui a désespérément besoin d'une figure paternelle pour la faire jouir.

J'ai bien peur que tout cela ne reste que du domaine de la fiction. Et peut-être aussi dans mes tiroirs, à voir…

Toujours est-il que je suis encore bien excitée, ma chatte réclame son dû, alors que je n'ai même pas de jouet coquin comme ma mère. L'idéal serait bien sûr d'en avoir un vibrant avec une langue divine. Ou mieux le petit aspirateur à clitoris que ma mère a... Bah oui j'ai trouvé son petit sac dans lequel elle les cache l'autre soir…

C'est là que tu te dis qu'être une reine toute puissante, ça a du bon. Je n'aurais eu qu'à sonner une petite clochette et une servante serait apparue pour qu'on m'envoie de beaux mâles pour assouvir toutes mes envies. J'en aurais collé un entre mes cuisses pour me trémousser et inonder son visage de cyprine, qu'il me boive littéralement, puis je l'aurais mis au garde à vous car j'ai très envie de m'amuser avec une queue bien raide et peaufiner mes talents linguistiques. Le pied quoi. Sauf que ma situation actuelle et ma chance légendaire, je me serais plutôt retrouvée du mauvais côté, si vous voyez ce que je veux dire.

Oh la la calme toi… imagination débordante! Sinon on en a encore pour cinq pages. Et une belle nuit blanche. De toute façon, je suis bien partie pour la faire, cette nuit blanche. Autant joindre l'utile à l'agréable

Tu sais journal quand je sors, j'ignore les tentatives de drague plus ou moins grossières et autres messages obscènes de certains à qui j'ai eu le malheur de donner mon numéro. Ma vie sociale est parfois bien trop monotone. Si bien qu'au début, ma meilleure amie me prenait pour une intello timide et coincée. Il faut dire que j'ai le physique de l'intello timide et coincée avec ma petite taille et mon air juvénile, et plus encore quand je sors avec les vêtements acheté par ma mère… On pourrait me confondre avec une gamine de 15 ans. D'autant plus que ma poitrine n'est pas très développée… Ces tenues constituent la majeure partie de ma garde robe, sauf quand je suis en mode allumeuse. Bref, je me contente d'une vie de fille sage, sans trop d'efforts d'ailleurs. Mes proches amis ont pris l'habitude à force et ne me sollicitent que rarement.

Puis un jour, c'est le déclic. Il suffit parfois d'un petit détail, d'un évènement tout banal pour rallumer la flamme et réveiller ma personnalité de coquine en manque. Comme le fait d'entendre ma mère se faire prendre en levrette par un bel étalon. Parfois, j'ai l'impression d'être une femme enceinte qui a une terrible envie de fraises. J'ignore comment c'est, d'être enceinte mais j'imagine la sensation d'avoir un énorme ventre. Il parait que ça augmente la libido… 

Mon comportement inadmissible pour une jeune lycéenne si sérieuse, arrive parfois à me mettre dans des situations inextricable… Au lycée, j'évite d'en faire un terrain de jeu, voulant quand même décrocher mon bac sans me faire virer pour atteinte à la pudeur, exhibitionnisme ou autre raison idiote. Sans parler des rumeurs. Cela ne m'empêche pas d'accepter les invitations et de participer aux soirées à la recherche de petits moments coquins. Comme tu le sais journal, je garde un souvenir particulier de ce jour où je m'étais retrouvée dans la voiture d'un mec de deux fois mon âge qui m'avait gentiment proposé de me raccompagner chez moi. Comme une petite salope sur le siège passager, je m'étais laissé doigtée. Une vraie actrice de films X. 

Bref, avec mon visage de poupée innocente et ma mini-jupe, le laisser voir ma petite culotte à dentelles noires une fois assise dans le siège, à force de mains baladeuses sur mes cuisses. Je l'avais trouvé craquant, j'avais envie de le laisser explorer mon intimité et de me faire jouir. Au final, dans le feu de l'action, je n'avais pas fait grand chose pour l'arrêter lorsqu'il m'avait écarté les genoux et tiré sur ma petite culotte en disant qu'il aimait beaucoup sentir ma chatte humide.

Bon ma mère et son mec à côté n'ont pas terminé… J'ai cru, l'espace d'un court moment de silence mais apparemment, c'était juste une pause. Maintenant si ce bel apollon pouvait se tromper de chambre et venir me baiser moi aussi, ça me calmerait peut être un peu et je pourrais faire dodo sans être hantée par mes fantasmes. Je m'étais déjà mise à quatre pates, le dos cambré et les cuisses ouvertes, offrant ma chatte luisante, que je cajole encore avec mes doigts mouillés. Sûrement que la situation intéresserait un homme ? Connaissant les mecs, il voudrait aussi profiter de mon petit cul à disposition et moi je ne broncherai pas, tellement avide de nouvelles expériences.

Hmmm il fallait vraiment que je trouve quelqu'un à me mettre sous la dent, sinon c'est moi qui risquait de débarquer dans leur chambre, pour exiger qu'on me baise. Vive l'ambiance à la maison après. Et s'ils m'accueillaient à bras ouverts ? J'osais à peine imaginer l'idée de coucher avec ma mère ne m'avait heureusement jamais effleuré l'esprit. 

Finalement, il est retourné baiser ma mère, et vu les cris qu'elle pousse, il ne la ménage vraiment pas. Alors moi, pour finir de me faire jouir, je frotte ma chatte contre mon oreiller. Je n'ai plus besoin de mes mains, seul mon bassin contrôle ma jouissance, un peu comme quand une femme s'empale sur l'homme et que c'est elle qui impose son rythme. Mes sensations sont décuplées. Quand je vais d'avant en arrière, cela fait frotter ma chatte sur cet oreiller. Oh oui… c'est vraiment le pied ça! Mes deux mains libres, j'en profite pour me pincer les seins, me mordre les doigts. Je n'en peux plus, cet oreiller me rend folle, en même temps j'ai un peu honte de m'exciter comme ça toute seule mais c'est vraiment trop bon pour que je m'arrête. A force de me frotter, mon clito commence à donner des signes révélateurs… j'accélère encore en gémissant de plus en plus fort.

Je presse de toutes mes forces cet oreiller qui me transforme en chienne. Je donne des coups de bassin, je martyrise ma chatte. Et soudain je sens mon vagin se contracter, des frissons me parcourent le corps. Un orgasme d'une violence inouïe me traverse d'un coup. Je me pousse deux cris de jouissance puis je me laisse tomber sur le coté, le corps parcouru de soubresauts et le vagin palpitant de cette décharge qu'il vient de recevoir. Une fois avoir repris mes esprit je glisse un doigt dans mon vagin pour constaté l'effet de cet orgasme. Quand je le retire de mon sexe, il est recouvert de mon jus, il y en a vraiment beaucoup. J'approche mon doigt de ma bouche, ça sent une odeur qui ne me déplait pas… puis je me mets à le sucer. Je récolte ainsi le fruit de ma jouissance pour ne pas perdre une goutte de cette expérience !

C'est décidé, la semaine prochaine, il y a une soirée organisée par une de mes potes du bahut. J'y  partirai à la chasse et adieu les mois d'abstinence et la petite fille coincée…

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